Soucieux d’améliorer le cadre de travail des élèves sur l’ensemble du territoire national, le gouvernement de la République, par le truchement du PISE (Programme d’investissement dans le secteur de l’éducation), a donné un grand coup d’accélérateur dans le secteur de l’éducation en construisant des écoles dans plusieurs localités du pays.
Dans une récente sortie, Ali Bongo Ondimba, a déclaré avoir fait construire en 30 mois, plusieurs salles de classes disséminées dans tout le pays. Il a par ailleurs promis de mettre à la disposition des apprenants, 23 000 nouvelles salles de classes dès la prochaine rentrée scolaire (2023-2024). Si ce programme concocté par la dynamique ministre de l’éducation nationale donne une visibilité dans un secteur en proie aux remous sociaux depuis 1990, les autres départements ministériels devraient, s’ils veulent travailler pour la population, suivre le cas de Mme Camelia Ntoutoume Leclerc, qui a, quoi qu’on dise, impulser une nouvelle dynamique dans le département comme l’éducation.
Comme on le constate un peu partout, des salles de classes poussent comme des champignons. La dernière sortie du chef de l’Etat parlant de ce secteur, montre à suffisance que la modernisation et la construction du pays, dépendent également de la qualité des différents acteurs appelés autour du président de la république. Si en 30 mois, on a pu construire autant de salles de classes, c’est que plusieurs secteurs vitaux du pays, avec la détermination et la volonté politique peuvent connaître des issues heureuses et durables.
La preuve qu’on ne peut seulement se contenter d’attendre les instructions du chef de l’état, est bien administrée ici aux adeptes de l’inertie.
