Après un lancement tonitruant le mardi 2 avril 2024 au palais des sports de Libreville par le chef de l’Etat, président de la Transition, le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA et en présence de son homologue centrafricain, le professeur Faustin Archange TOUADERA, le Dialogue national inclusif a enregistré son premier couac par un démarrage morose dont les différents acteurs pointent d’un doigt accusateur, les responsables de l’organisation.
En effet, pour de nombreuses personnes invitées à cette grande messe nationale, la journée du mercredi 3 avril 2024 avait été prévue pour un démarrage effectif des travaux par l’implication des différentes commissions préalablement établies. Ce qui aurait permis pour les délégués et les acteurs présents, d’entrer de plain-pied dans le vif du sujet et de décortiquer point par point, les différentes propositions émises par les gabonais et pour lesquelles ils attendent des réponses. Quant aux plus critiques, ils ne demandent ni plus ni moins que les sanctions tombent à l’égard des « ennemies » de la république encore tapis dans l’ombre du CTRI. Ne dit-on pas que « Qui aime bien châtie bien ».
Boris AYOLO